Droit, Sciences Politiques et Criminologie

Les ouvertures professionnelles La multidisciplinarité et l’ancrage juridique propres à la formation de l’ULiège sont très appréciés par les employeurs : à titre d’exemple, selon une enquête récente, 70 % des diplômés et diplômées ULiège en Science politique ont trouvé un emploi dans un délai de 3 mois, 93 % après 1 an, dans des domaines variés ! Ainsi, nos étudiants et étudiantes sont engagés comme assistants parlementaires, comme conseillers ministériels, comme responsables de diverses institutions associatives, comme gestionnaires dans le monde banquier et financier, comme fonctionnaires locaux, régionaux ou fédéraux, comme diplomates, comme inspecteurs des finances, comme consultants au niveau européen notamment, comme chercheurs, comme professeurs ainsi que comme élus (bourgmestres, députés, ministres…). Une caractéristique commune unit l’ensemble de nos diplômés : tous, à leur niveau exercent des fonctions à responsabilité ! Je travaille actuellement à l’Agence wallonne du Patrimoine. Grâce à mes études en Sciences politiques, j’ai acquis une connaissance précise du système administratif et politique belge et notamment des mécanismes sous-jacents à la conception des politiques publiques. La coexistence des sciences politiques avec des matières juridiques et la variété des cours proposés apporte de très bonnes bases pour l’entrée dans la vie active. Martin Lempereur Ma fonction d’Officier de Protection au sein du Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides me demande des connaissances et une rigueur juridique importantes, acquises lors de ma formation. Par ailleurs, ma fonction me demande de m’informer sans cesse sur les pays que je traite mais également sur les procédures à appliquer, ce qui rend mon métier très varié, un point que j’affectionne particulièrement. Chloé Janssen En tant que chercheur à l’ULiège, je travaille essentiellement sur des questions de politique belge autour des identités. J’interroge les identités sous nationales comme le nationalisme flamand/wallon ou l’identité bruxelloise au prisme des identités de classes. Tout expliquer par la classe ne fonctionne pas, mais faire semblant que plus rien n’existe n’a aucun sens, car on sait bien que les inégalités sont en fait plus marquées qu’avant et sans doute plus signifiantes. Maxime Counet 29

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